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Comment améliorer la vie à l’école ?

Comment améliorer la vie à l’école ?

Votre Coco a-t-il du mal à maintenir son attention, est-il agité et impulsif ? Ce n’est pas nécessairement un TDA/TDAH. Avant de vous rendre chez le neuropsychologue pour une évaluation ou à la pharmacie pour obtenir des médicaments, essayez d’abord de mettre en place ces conseils.

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L’attention, la concentration et la maîtrise de soi varient d’une personne à l’autre. Cependant, une difficulté à rester attentif ou un excès d’énergie ne signifie pas nécessairement que l’enfant est hyperactif ou souffre de TDA/TDAH. Ainsi, la fatigue, le stress, une personnalité anxieuse, un manque d’intérêt pour le sujet ou des difficultés scolaires peuvent rendre la concentration plus difficile et augmenter l’envie de bouger.

difficultés d’attention

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Imaginez un instant que vous devez suivre une formation toute la journée, sur un sujet qui ne vous intéresse pas, alors que vous êtes fatigué ou inquiet. Auriez-vous du mal à rester attentionné et calme ? Si, en outre, les chaises sont inconfortables, le formateur ennuyeux et vous avez du mal à comprendre le matériel, que se passerait-il ? Je pense que nous demandons à beaucoup de nos cocos qui sont à un âge où ils veulent jouer beaucoup plus.

Mais est-ce la seule solution pour donner des psychostimulants à nos enfants (Ritallin et autres ?) Pour connaître ma position sur les médicaments pour enfants, je vous invite à visionner cette vidéo :

Cela dit, les enfants doivent encore aller à l’école et apprendre. Il est donc important d’aider les enfants à développer progressivement ces compétences car elles sont essentielles à leur réussite scolaire et sociale. Même un enfant qui souffre d’un véritable TDAH, qui est un trouble neurochimique, bénéficiera d’une révision de certaines habitudes afin d’optimiser ses chances d’améliorer sa concentration et sa maîtrise de soi.

Je vous propose donc une formation vidéo GRATUITE dans laquelle vous trouverez « Ma prescription » pour développer l’attention, la concentration et mieux gérer l’impulsivité des enfants.

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Voici également 10 les pistes d’intervention possibles :

1. Répondre au besoin de déménager

Pour l’enfant qui a du « gaz d’avion », l’énergie qu’il doit déployer pour rester calme en classe, si son besoin de bouger n’est pas respecté, risque de nuire à ses capacités attentionnelles et d’augmenter son agressivité.

  • Pendant la routine, planifiez des activités où l’enfant pourra dépenser son énergie avant les périodes où il doit rester calme (le matin avant l’école, avant les repas, avant les devoirs, avant d’aller au lit, etc.).
  • Fournissez à l’enfant quelque chose qui occupe ses mains ou ses pieds pendant qu’il a besoin de rester calme : balle anti-stress, corde avec nœuds à dénouer, élastique à cheveux, pâte à modeler, crayons, etc.

2. Réduire les sources de stress et de stimulation

Le stress est l’un des facteurs qui influencent le plus l’attention et la maîtrise de soi. Nos enfants sont également souvent surstimulés et leur « disque dur » est trop souvent surchargé de informations.

  • Limitez le bruit et réduisez l’éclairage (lumière du jour lorsque cela est possible plutôt que des néons et une faible luminosité le soir).
  • Ralentir le rythme de vie, réduire le nombre d’activités structurées et de week-ends de détente plutôt que d’organiser des sorties en famille.
  • Réduisez la pression que nous mettons sur l’enfant pour qu’il se comporte impeccablement et réduisez le nombre d’interventions et de reproches (« Ne faites pas ça ! Tu vas le casser ! », « Dites bonjour à la dame ! Tu pourrais sourire ! », « Ne touchez pas à ça ! Mangez de la bonne façon… ») Choisissez les interventions essentielles et laissez tomber le reste.
  • Arrêtez de bousculer constamment les enfants : (« Dépêchez-vous ! Dépêche-toi ! ») et donnez-lui le temps de respecter vos instructions avant de répéter.

3. Augmentez les heures de sommeil

Étant donné qu’un déficit de sommeil peut grandement perturber les capacités d’attention :

  • Couchez l’enfant 30 à 45 minutes plus tôt, même si cela signifie qu’il faut lui laisser quelques minutes lectures.
  • Ne les laissez pas se coucher trop tard le week-end. Nous les rendons heureux sur place mais nous leur nuisons à moyen terme.
  • Faire des siestes le week-end

4. Adoptez une alimentation saine

La nourriture, c’est l’essence que nous fournissons à notre cerveau. L’essence de mauvaise qualité peut « obstruer » le moteur et nuire à son fonctionnement. Dans ce sens, je vous suggère donc de :

  • Réduisez la quantité d’aliments transformés.
  • Consommez moins de sucre, de matières grasses, de colorants et de conservateurs.
  • Faites attention au déjeuner : pas trop de sucre (ex : Nutella, jus), ajoutez des protéines et des fibres.
  • Vérifiez si l’enfant ne présente pas d’intolérances alimentaires (lactose, gluten, etc.) Une mauvaise digestion peut grandement affecter l’attention et l’humeur.
  • Ajoutez des oméga 3 à l’alimentation (poisson, noix, graines de lin, suppléments) et vérifiez si l’enfant ne présente pas de carence en fer ou en zinc.

Est-ce que tu aimes ce que tu lis ? Un programme de formation complet est également disponible en cliquant sur >>>ICIICI lectures.

  • Ne les laissez pas se coucher trop tard le week-end. Nous les rendons heureux sur place mais nous leur nuisons à moyen terme.
  • Faire des siestes le week-end
  • 4. Adoptez une alimentation saine

    La nourriture, c’est l’essence que nous fournissons à notre cerveau. L’essence de mauvaise qualité peut « obstruer » le moteur et nuire à son fonctionnement. Dans ce sens, je vous suggère donc de :

    • Réduisez la quantité d’aliments transformés.
    • Consommez moins de sucre, de matières grasses, de colorants et de conservateurs.
    • Faites attention au déjeuner : pas trop de sucre (ex : Nutella, jus), ajoutez des protéines et des fibres.
    • Vérifiez si l’enfant ne présente pas d’intolérances alimentaires (lactose, gluten, etc.) Une mauvaise digestion peut grandement affecter l’attention et l’humeur.
    • Ajoutez des oméga 3 à l’alimentation (poisson, noix, graines de lin, suppléments) et vérifiez si l’enfant ne présente pas de carence en fer ou en zinc.

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